Par
georges-s
Le 10/04/2014
Le 22 février dernier nous étions 50 000 pour réaffirmer notre refus de ce projet inutile.
Face à cette mobilisation, plus de 1500 gendarmes mobiles mettaient Nantes en état de siège et de guerre civile et blessaient gravement des dizaines de manifestants.
Lundi 31 mars, soit au lendemain du résultat des élections municipales, des militants ayant participé à cette manifestation ont été interpellés et sont passés ensuite en comparution immédiate au tribunal de Nantes, ne pouvant préparer leur défense . Dossiers vides et peines très lourdes.