Par
georges-s
Le 05/07/2013
Le MRAP n'a certes pas vocation à intervenir dans les rapports diplomatiques mais ne peut non plus oublier que l'Amitié entre les Peuples est inscrite dans son sigle et au cœur de son histoire.
C'est donc avec consternation qu'il a appris l'interdiction faite au président Bolivien de survoler la France, d'emprunter - comme tout autre vol - l'espace aérien français. Le MRAP ne peut que condamner ce qui constitue une violation des lois du trafic aérien international.
C'est la Bolivie et son peuple qui se voient ainsi méprisé à travers le traitement indigne qui a été appliqué à son président le mardi 2 juillet 2013.